Benjamin Biolay : « Attends, je ne suis pas Daniel Day-Lewis… »
Entretien Acteur tous azimuts, le chanteur aux cernes ténébreux trouve son meilleur rôle dans la comédie sociale « Quelques jours pas plus ». Survol, en sa compagnie, de son imaginaire cinéphile.
Abonné
Vous voulez participer au débat ?
S’abonner permet de commenter les articles. Et pas que : vous pouvez les consulter et les offrir à vos proches.
Vous avez envie d’offrir cet article ?
S’abonner permet d’offrir les articles à vos proches. Et pas que : vous pouvez les consulter et les commenter.
Benjamin Biolay a joué dans plus de films qu’Elvis Presley. Dans le lot, des casseroles (dont une apparition dans « Personal Shopper », d’Olivier Assayas, en… Victor Hugo !) et des envolées : le mari duplice des « Apparences », celui largué de « Chambre 212 ». Dans « Quelques jours pas plus », comédie sociale inspirée tirée du livre autobiographique du journaliste Marc Salbert, « De l’influence du lancer de minibar sur l’engagement humanitaire », il trouve son meilleur rôle. Celui d’un critique rock qui, pour les beaux yeux d’une femme (Camille Cottin), militante dans une association d’aide aux migrants, héberge un Afghan dans sa turne de vieil ado squattée par les vinyles.
Publicité
La critique rock
Publicité
« Les critiques rock, ça fait vingt-cinq ans que je les côtoie. Une espèce en voie d’extinction : les mecs qui vivent entourés de vinyles sont ceux dont les postes ne sont plus reconduits dans les journaux. J’ai de la tendresse pour eux. Marc Salbert, dont mon rôle est inspiré, est d’une autre génération que moi. On a adapté le personnage pour qu’il soit de la mienne. Un mec de 30 ans en 1994 n’avait rien à foutre d’Oasis, alors …
Vous voulez lire la suite de cet article ?
S’abonner permet de consulter tous les articles. Et pas que : vous pouvez les commenter et les offrir à vos proches.
Exclu :
1€ pour 3 mois